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La formation professionnelle maritime en Bretagne

La Bretagne compte 4 lycées maritimes : Saint Malo, Etel, Guivinec et Paimpol avec 132 emplois de professeurs et 36 emplois pour l'entretien et la restauration.

 

L'Ecole Nationale Supérieur Maritime (ENSM) de Saint Malo qui forme des Officiers de quart Machine compte 33 emplois sur les 210 emplois nationaux.

 

Mais il existe plusieurs autres établissements qui dispensent des formations maritimes : (Institut Nautique de Bretagne, Nautismme en Bretagne, AFPA St Gousta, Ecole Navale, Ecole Nationale des voiles et des sports nautiques...) voir ci dessous 

 

Il faut y ajouter des formations maritimes dans des lycées agricoles comme au Lycée de Bréhoulou à Fouesnant (aquaculture)

Lycée maritime de Saint Malo

 

 

 

                        

 

 

Vidéo Formation 

 

Lycée maritime d'Etel

 

 

 

 

 

                         

Lycée maritime du Guilvinec

 

 

 

 

 

Lycée maritime de Paimpol

 

lycées maritimes
ENSM
formations maritimes en Bretagne
Assises de la formation maritime

Assises de la formation et des métiers maritimes le 08 Novembre 2013

La Cgt à l’offensive

 

Des Assises de la formation et des métiers maritimes, suspendues à la volonté politique du gouvernement de se donner les moyens d’une véritable politique maritime française.

 

La politique maritime française est au coeur des dérégulations mondiale et européenne qui affectent toutes les filières maritimes qu’il s’agisse du transport maritime ou des activités industrielles existantes de construction navale et nouvelles liées aux énergies maritimes renouvelables (EMR).

 

Malgré notre statut de puissance maritime, malgré les aides fiscales diverses aux armements, malgré la création de registre de complaisance en 2005 (Registre International Français), malgré notre dispositif de formation, la construction navale, les armements maritimes, les effectifs de marins : TOUT S’EFFONDRE ! Au point que la marine marchande française est menacée de disparition.

 

Des marins et officiers français se voient remplacés par des salariés ressortissants Européens à bas coût ou de pays tiers. Ils sont victimes de la casse des emplois sur les navires battant le pavillon français. Le RIF quant à lui, pavillon de complaisance, n’a pas été un frein à la perte des emplois de marins français au commerce.

 

Les marins français sont entraînés dans une spirale de dégradation de l’emploi, des conditions sociales, de travail ; conséquence en réalité d’une course à la rentabilité et à la compétitivité selon le dogme de la baisse du « coût du travail ».

 

Les marins, les officiers et les jeunes en formation peinent à trouver des embarquements. Le Gouvernement ne peut s’exonérer de ses responsabilités pour donner de réelles perspectives d’emplois stables pour l’ensemble de la profession de marins. Ne rien faire serait une chronique de mort annoncée de la filière française de transport maritime.

 

La formation des marins, parmi la meilleure au monde, est en grande difficulté. C’est pourquoi la CGT avait sollicité le ministre en charge, des transports, de la mer et de la pêche, dès janvier 2013, pour l’organisation d’une table ronde avec les acteurs (armateurs, élus, Etat, organisations syndicales) sur l’enseignement maritime.

 

Ceci afin de décider d’un projet stratégique, pédagogique et des moyens budgétaires et humains pour renforcer nos filières de formation maritime, initiale et continue, des élèves et marins que sont nos lycées professionnels maritimes et l’école nationale supérieure maritime (ENSM).

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