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Au-delà de l’horizon, là où ne règne plus aucun Etat, s’étend la Haute Mer.

 

Cette large moitié de la planète nous est plus inconnue que la surface de la lune.

 

Pourtant, nous ne vivrions pas sans elle. Elle nous nourrit, nous fournit la moitié de notre oxygène, équilibre notre climat, séquestre la majeure partie de nos émissions de gaz à effet de serre, permet la quasi-totalité des échanges de marchandises.

 

Elle inspire nos poètes et fait rêver nos enfants. S’il appartenait à une seule nation, un tel trésor serait chéri. Mais la Haute Mer n’appartient à personne, elle doit être gérée dans l’intérêt général, comme un «bien commun de l’humanité ».

 

Un statut partiellement acquis en 1982 à Montego Bay, en Jamaïque, qui définit un cadre, des règles et une autorité pour l’exploitation des sol et sous-sols marin, mais pas pour la colonne d’eau.

 

Avec la Convention du droit de la mer, les Nations Unies ont franchi une étape essentielle, nécessaire, vers une gouvernance apaisée de la mer. Mais, on le constate 30 ans plus tard, une étape insuffisante tant la protection est inachevée pour préserver un joyau, dont on découvre chaque jour un peu plus les richesses.

 

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