top of page

Les DIRM

 

Le ministre d’État, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, a présenté au conseil des ministres du 10 février 2010 un décret relatif à l’organisation et aux missions des directions interrégionales de la mer (DIRM).

 

Ce décret parachève la réorganisation des services déconcentrés chargés de la mer, après la création en métropole, au 1er janvier 2010, des directions départementales des territoires et de la mer (DDTM), parmi les directions départementales interministérielles (DDI), dans les départements du littoral.

 

Au nombre de quatre, les directions interrégionales de la mer, issues de la fusion des directions régionales des affaires maritimes et des services départementaux chargés de la signalisation maritime et de la gestion des centres de stockage POLMAR, sont des services déconcentrés relevant des ministres chargés de la mer et du développement durable, mis à disposition du ministre chargé de la pêche maritime, et placés sous l’autorité des préfets de région, des préfets maritimes et des préfets de zone, en fonction des compétences respectives de ces autorités en mer et sur le littoral.

 

Pour la métropole, le champ d’action de chacune de ces directions s’étend à plusieurs régions et à leurs façades maritimes, leurs compétences techniques et leurs moyens ayant vocation à être mis en œuvre à cette échelle : « Méditerranée », « Sud-Atlantique », « Nord Atlantique-Manche Ouest » et « Manche Est-Mer du Nord ». Elles auront leur siège respectivement à Marseille, Bordeaux, Nantes et Le Havre.

 

En plus de leurs activités en matière sociale, économique (en particulier liées à la pêche), de sécurité, de prévention et de lutte contre les pollutions, et de formation, elles devront développer une approche intégrée du développement durable maritime dont le Grenelle de la mer a défini les principes, en particulier dans la planification des activités à l’échelle des façades maritimes. Elles auront notamment une mission de coordination des services chargés de mettre en ouvre les actions de l’Etat dans le domaine de la mer et du littoral.

Amiante : boycott du Comité Technique de la DIRM NAMO

 

La DIRM NAMO cherche à détourner l’attention et gagner du temps pour que la question de l’amiante se règle d’elle même par le départ à la retraite des agents.

La CGT exige que les sites amiantés et les personnels y étant affectés soient déclarés au ministère dans les plus brefs délais, en s’appuyant sur des D.T.A, en tenant compte des bâtiments des affaires maritimes actuels et anciens, des navires de pêche et de charge français comme étrangers, y compris les moins de 12m, exposants les fonctionnaires des affaires maritimes et des centres de sécurité des navires (tous corps confondus) à l’amiante (et pas seulement ceux ayant exercé jusqu’en 1996 !).

 

Lire la suite dans le document de UF CGT de la DIRM NAMO ci-joint.

DIRM : Communiqué de presse

suite aux CHSCT

 

En décembre dernier, les comités d’hygiène et sécurité et des conditions de travail (CHSCT) des quatre directions inter-régionales de la mer, (DIRM SA, DIRM MED, DIRM NAMO, DIRM MEMN), services déconcentrés du ministère de l’écologie et du développement durable (MEDDE) en charge des lycées maritimes, des centres de sécurité des navires, des services phares et balises, du contrôle de santé des gens de mer, et du contrôle des activités maritimes (vedettes et patrouilleurs affaires maritimes), se sont respectivement tenus à Bordeaux, Marseille, Brest et au Havre.

 

Lire la suite dans le communiqué de presse ci-joint.

bottom of page